Découverte du camping-car Dacia Sandman : un allié pour les aventuriers

Le marché européen du véhicule de loisirs connaît une croissance continue, en particulier sur les modèles compacts et accessibles. Dacia, filiale du groupe Renault, lance le Sandman, une proposition inédite dans le segment des camping-cars économiques.

Ce modèle s’appuie sur l’expérience acquise avec la gamme Jogger, tout en intégrant des solutions d’aménagement pensées pour l’autonomie et la simplicité d’utilisation. L’arrivée du Sandman vient bousculer les codes établis, en misant sur un rapport qualité-prix rarement atteint dans cette catégorie.

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Le Dacia Sandman, un nouveau visage pour le camping-car accessible

Le Dacia Sandman débarque sur le terrain des vans aménagés compacts et secoue la hiérarchie. Pour concevoir ce modèle, la marque puise directement dans l’ADN du Renault Trafic, un nom synonyme de fiabilité et de robustesse dans le monde de l’utilitaire. Sa silhouette compacte et son agilité séduisent d’emblée ceux qui rêvent d’évasion sans se ruiner : familles qui veulent partir sur un coup de tête, jeunes explorateurs à la recherche de spontanéité, tous trouvent ici une réponse concrète à leur envie de liberté.

Côté tarifs, le prix Dacia Sandman démarre autour de 17 000 euros ; la version la plus équipée ne dépasse pas les 25 000 euros. Difficile de trouver une offre plus compétitive quand on sait que la plupart des camping-cars traditionnels flirtent avec des prix deux à trois fois supérieurs. Cette stratégie tarifaire ouvre enfin les portes du véhicule de loisirs à un public longtemps tenu à l’écart pour des raisons financières. Dacia prévoit une commercialisation en France entre 2024 et 2026 : un calendrier qui tombe à pic, alors que l’engouement pour les voyages nomades ne faiblit pas sur le continent.

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Sous le capot, le van Dacia Sandman reprend les moteurs éprouvés de Renault : essence, diesel, mais aussi une option ECO-G compatible GPL pour ceux qui surveillent leur budget carburant et souhaitent réduire leur impact environnemental. Ici, pas question de jouer la surenchère : chaque choix d’aménagement est pensé pour l’autonomie, la sobriété et la simplicité. Le Sandman mise tout sur la maniabilité, la flexibilité et la praticité, pour transformer chaque escapade en expérience sans prise de tête.

En s’emparant du créneau des vans accessibles, Dacia pose un jalon et répond à l’évolution des attentes des voyageurs. La marque s’appuie sur sa solide expérience du marché des camping-cars tout en réaffirmant son approche pragmatique, gage de son succès depuis plus de dix ans.

Quelles innovations pour séduire les aventuriers d’aujourd’hui ?

Le Dacia Sandman s’adresse sans détour à ceux qui voient la route comme un terrain de jeu : familles avides de simplicité, passionnés de road trips et amateurs de liberté. Sa version 4×4, développée sur la base du Dacia Duster et préparée par Camperiz, bénéficie de la transmission intégrale signée Dangel. Résultat : une capacité à sortir du bitume sans crainte et à s’aventurer là où les vans classiques s’arrêtent. Cette variante baroudeuse complète une gamme conçue pour l’autonomie et la flexibilité, sans pour autant faire grimper la facture.

Le Sandman va plus loin que la simple adaptation utilitaire. Il affiche une consommation réduite : entre 6,5 et 8 litres aux 100 km selon la configuration. L’autonomie atteint jusqu’à 800 kilomètres, de quoi envisager de longs trajets sans stress. Pour les conducteurs soucieux de limiter leur empreinte carbone, la version ECO-G compatible GPL représente une alternative concrète, avec en prime des matériaux intégrant une part de recyclé. Moins d’émissions, plus de responsabilité.

L’intérieur se veut évolutif et astucieux : la conception privilégie la flexibilité, que l’on parte entre amis ou en solo. Les solutions d’aménagement ne laissent rien au hasard, chaque élément trouve sa place et facilite la vie à bord. Le Sandman s’impose par sa capacité à allier équipements ingénieux, technologie éprouvée et mécanique robuste, pour accompagner ceux qui veulent partir loin, sans superflu ni complication.

À bord : confort, modularité et équipements pensés pour l’itinérance

À l’intérieur, le Dacia Sandman révèle toute la logique de la marque : pas de place perdue, chaque recoin est optimisé. L’espace a été pensé pour accueillir sans entasser. La banquette arrière se déploie en lit double, tandis que le toit relevable offre une belle hauteur sous plafond, un vrai plus pour vivre à bord à quatre sans se marcher dessus. Quatre couchages, de la convivialité, et pas un centimètre sacrifié.

Voici ce que réserve le Sandman côté équipements :

• Un module cuisine compact avec réchaud, évier inox et rangements adaptés
• Le pack Sleep qui permet de passer du salon au couchage en un clin d’œil
• Des solutions de rangement astucieuses : placards latéraux, tiroirs sous la banquette, espaces prévus pour les bagages encombrants

Pour garantir l’autonomie, la batterie auxiliaire prend en charge le réfrigérateur et la pompe à eau. Les plus exigeants pourront opter pour des panneaux solaires et ainsi prolonger les haltes loin de tout branchement. Sur le plan technologique, le Sandman ne sacrifie rien : système audio de qualité, GPS intégré, aides à la conduite, freinage d’urgence assisté, régulateur de vitesse adaptatif. Tout est pensé pour faciliter la vie sur la route, sans s’alourdir de gadgets inutiles. L’esprit Renault se retrouve ici : efficacité, robustesse, simplicité.

Où se place le Sandman face à la concurrence sur le marché des vans compacts ?

Sur le marché très disputé des vans aménagés, le Dacia Sandman secoue la concurrence. Là où la plupart des modèles oscillent autour de 40 000 euros ou plus, le Sandman s’affiche sans complexe entre 17 000 et 25 000 euros. Cette différence change la donne : familles, jeunes aventuriers, groupes d’amis… tous ceux que le prix freinait peuvent désormais envisager de partir.

Parmi les grands noms du segment , Renault Trafic aménagé, Ford Nugget, Peugeot Traveller ou Toyota Proace Verso ,, le Sandman joue la carte de la modularité, de la simplicité et de la robustesse. Sa base Renault Trafic fait figure de valeur sûre, et la motorisation ECO-G compatible GPL propose une alternative économique rare dans l’univers des vans compacts.

Le secteur des véhicules de loisirs ne cesse de progresser : en 2024, la croissance atteint 12 % en Europe. Dacia surfe sur cette vague et promet une valeur de revente solide. Selon AutomagzPro, le Sandman conserve jusqu’à 70 % de sa valeur après cinq ans, un argument de poids pour ceux qui craignent la dépréciation rapide.

Les premiers essais, menés par Fernando Moreno et Julien Ruffet, mettent en avant la polyvalence et la robustesse du Sandman, deux qualités saluées par les spécialistes. Dacia consolide sa réputation de fiabilité tout en ouvrant le monde du van aménagé à un public plus large. Le Sandman n’a pas fini d’écrire la suite de l’aventure sur les routes d’Europe.